« Le rossignol qui du haut d’une branche se regarde dedans, croit être tombé dans la rivière.
Il est au sommet d’un chêne et toutefois a peur de se noyer »
Cyrano de Bergerac
L’ombre des arbres dans la rivière embrumée
Meurt comme de la fumée,
Tandis qu’en l’air, parmi les ramures réelles,
Se plaignent les tourterelles.
Combien, ô voyageur, ce paysage blême
Te mira blême toi-même,
Et que tristes pleuraient dans les hautes feuillées
Tes espérances noyées !
Verlaine, mai-juin 1872