Cette huile sur toile conservée à Boston au Museum of Fine Arts est actuellement accrochée au Grand Palais dans le cadre de l’exposition Greco
Retrouvez sur l’étoile « crushes » mon commentaire sur l’exposition
Portrait du Cardinal Niño de Guevara – vers 1600
Cette huile sur toile conservée à New-York au Metropolitan Museum of Art
Elle est actuellement accrochée au Grand Palais à Paris dans le cadre de l’exposition Greco
Mon coup de cœur de ce mois d’octobre parisien : l’exposition Greco
Merci Guillaume !
Une exposition virtuose à la faveur d’un peintre du siècle d’or espagnol :
Le Greco.
Mon professeur d’histoire de l’art à la Sorbonne, Véronique Gérard-Powell a introduit son cours en nous disant :
« Je vais vous faire un cours sur la peinture espagnole, parce que c’est la seule chance que vous aurez d’en attendre parler » …
Elle avait raison, à la Sorbonne comme pour les parisiens en général, la peinture espagnole est occultée. Pour notre défense, le Louvre est pauvre en chefs d’œuvres de maîtres espagnol.
En 2015, au Grand Palais, Guillaume Kientz propose une admirable exposition sur Vélasquez.
Et Paris redécouvre ce grand peintre du siècle d’or et la peinture espagnole avec.
Merci Guillaume !
Les parisiens grâce à ton enthousiasme, ta persévérance, ton goût, ton œil, ton travail ont ouvert les yeux sur la peinture espagnole.
Hâtez-vous au Grand Palais pour admirer Le Greco.
Découvrir comment ce maître régénère le style et réinvente l’image.
Comment il fusionne la couleur de Titien et le dessin de Michel-Ange.
Comment les Impressionnistes, Picasso, Cézanne, se sont emparés de l’idée des séries, des compositions par la couleur, de la cinétique de la couleur, de son travail sur la lumière et le cadrage.
L’accrochage est pensé pour mettre en lumière la trajectoire originale de Greco et montrer comment ses solutions plastiques (avec son double défi du style et de l’image) sont d’une grande modernité.
« Chapeau bas » au commissaire, Monsieur Guillaume Kientz pour cette étonnante exposition, avec à vos côtés, Madame Charlotte Chastel-Rousseau.
Une des dernières pensées de Léonard pour une série de déluges à la pierre noire, images d’un univers livré à l’impermanence.
Conservé à Londres, Windsor Castle, The Royal Collection
Actuellement accroché au Louvre dans le cadre de l’exposition consacrée à Léonard de Vinci – octobre 2019
Pointe métallique, plume et encre brune, lavis brun sur papier préparé blanc
Léonard a étudié au cours de ses recherches les rapports arithmétiques et géométriques qui régissent les vivants, sur le canon du IIIe livre de Vitruve, théoricien romain de l’architecture. Léonard corrige les valeurs -très abstraites- de l’architecte en fonction de sa propre expérience des données anthropologiques. Le pied mesure chez lui le septième de la hauteur du corps, contre le sixième chez Vitruve.
Conservé à Venise, Gallerie dell’Accademia
Actuellement accroché au Louvre dans le cadre de l’exposition consacrée à Léonard de Vinci – octobre 2019