Plaques et bondo sur bois
Collection de l’artiste
Mois : avril 2023
Portrait de Tatiana Lisaovskaia en duchesse d’Albe -2014 J.Schnabel
Collection de l’artiste
Tina avec un chapeau de matador -1987 J.Schnabel
Huile, assiettes brisées et bondo sur bois
Conservé dans la collection Bischofer à Männedorf -Zurich, Suisse
Drink -1996 David Salle
Conservé dans une collection particulière
Exile -1980 Julian Schnabel
Conservé dans la Courtesy Galerie, Bruno Bichofberger, Männerdorf -Zurich
La femme étranglée -1875-76 Cezanne
Conservé au musée d’Orsay à Paris
Fakires -1993 J.Schnabel
Conservé à Bilbao au musée Guggenheim, Espagne
Spain -1986 J.Schnabel
Conservé à Bilbao au Musée Guggenheim, Espagne.
Fallen Angel -1981 Basquiat
Conservé dans une collection particulière
main de solitude
Le verre de prune vu par Manet -1877
Collection de Mr et Mme Paul Mellon
Un verre de prune ou un verre d’absinthe
Au XIXe, hier comme aujourd’hui, l’alcool est un fléau, une solitude.
Le verre d’absinthe vu par Degas 1875-76
Conservé au musée d’Orsay
À propos de l’absinthe
D’abord une boisson à la mode chez les artistes et les gens de la haute société- c’est une boisson chère, l’absinthe quitte les salons chics à partir des années 1870.
La production d’absinthe en France est multipliée par 50 entre 1874 et 1910, 36 millions de litres sont produits.
L’engouement pour l’absinthe se répand à la vitesse de la lumière.
L’absinthe se démocratise, toutes les couches sociales en font une consommation effrénée aux terrasses des bars.
L’absinthe est le fléau de la fin du XIXe à Paris, consommée à outrance, elle induit un alcoolisme massif des masses populaires.
Cet alcool devient l’ « affreuse sorcière verte ».
Devant les ravages de l’absinthe, une forte mobilisation menée par Pasteur et Claude Bernard à laquelle se greffe l’Église catholique et les viticulteurs, réclame son interdiction.
Le gouvernement réagit, en 1915 la commercialisation de l’absinthe est interdite.
Elle sera de retour sur le marché en 2011.