Atmosphères
La photo façonne et célèbre la lumière. Elle donne de la lumière à la lumière
main de prélat
Main peinte par Greco vers 1600, un tableau phare admiré par des générations de peintres dont Vélasquez et Bacon.
Le Portrait du Cardinal Niño de Guevara est conservé à New-York au Metropolitan Museum of Art.
Il est actuellement accroché au Grand Palais à Paris dans le cadre de l’exposition Greco
Pour voir le tableau aller sur l’étoile « Crushes » et exposition Greco
Intérieur à la fillette (La Lecture) 1905-1906 – H.Matisse
Huile sur toile, conservée au museum of Modern Art à New-York
Actuellement accrochée au musée de l’Orangerie dans le cadre de l’exposition
« Félix Fénéon, Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse ».
L’Algérienne -1909 – H.Matisse
Huile sur toile conservée au Centre Pompidou,
musée national d’art moderne
Actuellement accrochée au musée de l’Orangerie dans le cadre de l’exposition
« Félix Fénéon, Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse ».
Bord de mer, sous les pins – 1921- P.Bonnard
Huile sur toile conservée dans une collection particulière
Actuellement accrochée au musée de l’Orangerie dans le cadre de l’exposition
« Félix Fénéon, Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse ».
Femme assoupie sur un lit ou l’indolente – 1899 – P.Bonnard
Huile sur toile conservée au musée d’Orsay
Actuellement accrochée au musée de l’Orangerie dans le cadre de l’exposition
« Félix Fénéon, Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse ».
Apollon et Marsyas – L.Giordano – 1660
Huile sur toile conservée à Naples, au Museo e Real Bosco de Capodimonte
Actuellement accrochée au Petit Palais dans le cadre de l’exposition consacrée à Luca Giordano.
Apollon et Marsyas – 1637 Ribera
Huile sur toile conservée à Naples, au Museo e Real Bosco de Capodimonte
Actuellement accrochée au Petit Palais dans le cadre de l’exposition consacrée à Luca Giordano.
1637 : Ribera – 1660 : Giordano – Apollon et Marsyas
Excellent joueur de flûte, le satyre Marsyas, convaincu de pouvoir dépasser en habileté le dieu Apollon, osa impunément le défier. Ayant perdu la compétition, les Muses le condamnèrent à être écorché vif pour son orgueil démesuré. Les cris de douleur de Marsyas lors du commencement du supplice sont immortalisés par Giordano, qui, en réponse à la toile de Ribera, en reprend le réalisme prononcé.
Le bon Samaritain – 1660 – Luca Giordano
Cette huile sur toile est conservée à Rouen au musée des Beaux-Arts
Actuellement accrochée au Petit Palais dans le cadre de l’exposition consacrée à Luca Giordano
Longtemps attribué à Ribera, ce tableau montre comment Giordano assimile le style de son aîné.