avec pour canevas le poème de Baudelaire : Correspondances
mon hommage à Notre Dame
Comme de longs échos qui de loin se confondent
La fumée, les odeurs et les cris se répondent
La pierre s’échauffe, le feu se répand
Il est des cris du bois comme des chairs d’enfants
lumineux comme les flammes, furieux comme l’émotion
Et d’autres intenses, noyés dans l’affliction
Ayant l’expansion d’un incendie expiatoire
Qui brûle les transports de l’âme et de l’Histoire.