Dürer a dessiné à la mine d’argent cet autoportrait à l’âge de 13 ans
Il est conservé à l’Albertina à Vienne, Autriche
La photo façonne et célèbre la lumière. Elle donne de la lumière à la lumière
Dürer a dessiné à la mine d’argent cet autoportrait à l’âge de 13 ans
Il est conservé à l’Albertina à Vienne, Autriche
Exposé en ce moment au Louvre dans le cadre de l’exposition :
Figures du Fou – Du Moyen-Âge aux Romantiques .
Carton de l’exposition :
« Pieter Cornelisz van der Morsch (1543-1628) est un personnage bien connu : c’était le bouffon du « cercle des rhétoriciens », la guilde des poètes de Leyde (Pays-Bas). Sa notoriété était telle que Frans Hals a aussi peint son portrait, en 1616, sans bonnet de fou, mais avec des attributs renvoyant clairement à son personnage de bouffon. »
Carton de l’exposition « Figures du Fou » au Musée du Louvre :
« Chez Bosch et ses suiveurs, folie et tromperie sont souvent associées. Dans cette œuvre, le personnage à droite, un bateleur de foire, est clairement un filou, dont le comparse (mais ils sont peut-être plusieurs) dérobe la bourse d’un spectateur crédule et ahuri. De nombreux éléments renvoient aussi à la folie, tel le chien au costume de bouffon.
Tout n’est qu’illusion, y compris la table, que le spectateur peut voir comme un visage, en inclinant la tête vers la droite. »
Ce tableau est conservé à Saint-Germain-en-Laye
Musée Ducastel-Vera, legs Louis-Alexandre Ducastel 1872, inv. 1872. 872.1.87
Cette toile conservée au musée d’Orsay et actuellement visible au Centre Pompidou dans le cadre de l’exposition sur le surréalisme.
Carton d’Orsay :
» Dans les années 1890, Odilon Redon interprète parfois en couleur certains de ces dessins ou gravures. Peint en 1890, Les Yeux clos, qui est sans doute un portrait de son épouse Camille Falte, reprend ainsi la composition d’un dessin antérieur.
Les yeux fermés du sommeil ou de la mort évoquent le monde intérieur, le rêve, l’absence ou l’apparition, thèmes féconds chez Odilon Redon, comme il le raconte dans A soi-même, son journal intime publié en 1922. L’extrême dilution de la peinture la rend presque immatérielle, laissant le grain de la toile apparent. Le buste semble flotter dans un espace que l’artiste laisse indéfini.
Ce visage fait référence aux bustes de la renaissance italienne du XVe siècle, aux marbres de Francesco Laurana en particulier. Il garde aussi sans doute le souvenir de L’Esclave mourant de Michel-Ange, exposé au Louvre, qui avait bouleversé Redon et dont il avait commenté dans son journal le charme étrange des « yeux clos ». Icône du symbolisme en peinture, c’est la première oeuvre de Redon entrée dans les collections nationales, choisie en 1904 dans l’atelier de l’artiste par Léonce Bénédite, le directeur du musée du Luxembourg. »
Cette huile sur toile est visible en ce moment au centre Pompidou dans le cadre de l’exposition sur le surréalisme
Le tableau est conservé au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofía à Madrid
Legado Salvador Dalí, 1990
Conservé au musée Marmonnant-Monet à Paris
Quand le soleil incendie les champs…
Cette petite toile (46 x 56 cm) est conservée dans la Collection Merzbacher, à Zurich
Un clin d’oeil !
Ce tableau est conservé à Philadelphie- Fondation Barnes
Conservé au Kunsthaus, Zürich