
Atmosphères
La photo façonne et célèbre la lumière. Elle donne de la lumière à la lumière
Portrait de jeune fille -1898 William Bouguereau

Étude pour la vierge du Grand Duc – 1504-07 Raphaël

Raphaël a utilisé la pierre noire et un stylet, sur papier, pour réaliser ce dessin préparatoire.
L’huile sur bois est conservée au Palais Pitti à Florence
mains royales

Le port d’une reine jusqu’au bout des doigts.
Élisabeth Vigée- Le Brun s’est servi d’une rose pour exprimer la grâce, l’élégance, le maintien et la maîtrise (même quand ça pique on doit sourire) d’une jeune- femme, devenue reine, pour le meilleur et pour le pire.
Il existe cinq versions de ce Portrait de Marie-Antoinette à la rose peint en 1783.
La première version Élisabeth Vigée- Le Brun choisit de représenter Marie-Antoinette en robe de mousseline de coton.

Ce tableau choqua le public. Un portrait de la Reine en chemise n’était pas acceptable. La peintre couvrit Marie-Antoinette de dentelles et de perles dans un nouveau portrait qui eut un grand succès .
Pour voir le tableau aller sur l’ index des artistes ou à Versailles.
Le tableau est conservé dans la collection du Petit Trianon.
Madonna Greca -Giovanni Bellini 1470


Un sommeil d’or – sculpture de Constantin Brâncusi

Quand la lumière souffle la vie

Buste en pierre de la première des six filles du couple royal formé par Akhenaton (Amenhotep IV) et Nefertiti :
Méritamon (l’aimée d’Aton)
La jeune fille est coiffée d’une perruque de style « Nubio » composée de tresses très courtes.
Figue-fleur à Bouffelaure

La lumière filtrée par les feuilles du figuier découpe le ciel comme un vitrail
La sainte Famille – P. Batoni 1760

La sainte Famille est conservée aux musées Capitolins à Rome.
Pompeo Batoni incarne l’évolution stylistique du XVIIIe
S’il emprunte au classicisme, ses couleurs vibrantes et la clarté réjouissante de sa peinture confèrent à ses tableaux une atmosphère particulière

Allégorie de la nuit -1766 Tapisserie

La tapisserie a été réalisée en 1766 par Pietro Duranti, directeur de la manufacture napolitaine travaillant sur un métier à haute lisse, auteur des célèbres tapisseries du cycle de Don Quichotte aujourd’hui au Quirinal.
Le carton préparatoire a été exécuté par Guiseppe Bonito, peintre de cour.
La tapisserie en laine, soie et fils d’argent, fait partie d’une série consacrée aux Allégories de la vertu conjugale qui ornaient la chambre de Ferdinand IV.