mains royales

Le port d’une reine jusqu’au bout des doigts.
Élisabeth Vigée- Le Brun s’est servi d’une rose pour exprimer la grâce, l’élégance, le maintien et la maîtrise (même quand ça pique on doit sourire) d’une jeune- femme, devenue reine, pour le meilleur et pour le pire.

Il existe cinq versions de ce Portrait de Marie-Antoinette à la rose peint en 1783.

La première version Élisabeth Vigée- Le Brun choisit de représenter Marie-Antoinette en robe de mousseline de coton.

Ce tableau choqua le public. Un portrait de la Reine en chemise n’était pas acceptable. La peintre couvrit  Marie-Antoinette de dentelles et de perles dans un nouveau portrait qui eut un grand succès .

Pour voir le tableau aller sur l’ index des artistes ou à Versailles.
Le tableau est conservé dans la collection du Petit Trianon.

Allégorie de la nuit -1766 Tapisserie

La tapisserie a été réalisée en 1766 par Pietro Duranti, directeur de la manufacture napolitaine travaillant sur un métier à haute lisse, auteur des célèbres tapisseries du cycle de Don Quichotte aujourd’hui au Quirinal.
Le carton préparatoire a été exécuté par Guiseppe Bonito, peintre de cour.

La tapisserie en laine, soie et fils d’argent, fait partie d’une série consacrée aux Allégories de la vertu conjugale qui ornaient la chambre de Ferdinand IV.