Cette « Pitié de Notre Seigneur » -appellation ancienne de
La Grande Pietà ronde, attribuée à Jean Malouel associe au thème de l’Homme de douleurs celui de la Trinité.
C’est une commande de Philippe le Hardi, duc de Bourgogne qui portait une grande dévotion à la Trinité.
Lumières de mains
main chiffonnée
Le modèle est surprise au saut du lit.
Bien que pudique dans sa représentation, le spectateur a le sentiment de froisser l’intimité de la jeune-fille.
Le Lever –1885-86 témoigne du talent de Berthe Morisot qui, de part sa volonté de rupture avec la peinture traditionnelle et la transcendance de ses modèles, est une grande artiste du XIXe.
Le tableau appartient à une collection particulière, il est visible en ce moment au musée d’Orsay dans le cadre de l’exposition consacrée à Berthe Morisot.
mains musiciennes
Le concert au bas relief peint en 1624 représente un groupe de musiciens réunis autour d’un bloc de pierre sur lequel est sculptée la scène du mariage de Pélée à la déesse de la mer Thétis.
Dans ce tableau, l’érudition, le lyrisme et l’expression mélancolique des jeunes personnages se substituent aux images burlesques qui sont habituellement associées aux scènes de concert.
Ce chef d’œuvre obsédant est l’un des huit tableaux de Le Valentin appartenant au cardinal Mazarin. Il est conservé au Louvre.
mains d’école
mains de conteuse …
Berthe Morisot a représenté sa fille Julie en compagnie de sa nourrice dans son jardin. C’est une scène de la vie quotidienne, l’enfant ne pose pas. Elle écoute sa nourrice.
C’est Mallarmé qui donna son nom à cette toile, retrouvée roulée au fond d’une armoire, à la mort de l’artiste. La fable –1883
adoration
Madonna col Bambino e due angeli (Madone dite de Volterra)
1471-72 circa
Tempera sur bois
Conservé à la National Gallery of Art à Londres
Ce tableau est un chef d’œuvre d’Andrea del Verrocchio, le maître de Léonard de Vinci.
Un riche rideau à deux pans met en scène la vierge et, ouvre sur la vue panoramique d’une plaine. La vierge est en adoration devant l’enfant Jésus maintenu sur ses genoux par un ange. Lui faisant face, un deuxième ange, à la droite de la vierge, a les yeux levés vers le ciel. Le tableau est baigné d’une lumière frontale qui met en valeur les carnations et les étoffes.
la main du labeur
Cette huile sur toile conservée au Museu de Arte de São Paulo est un tableau de Paul Cézanne peint en 1866-68 : Le Noir Scipion
Cette toile fait partie des premières œuvres du peintre. Cézanne parle de sa « période couillarde », les historiens l’appelle « période baroque » reconnaissable à sa pâte épaisse et ses couleurs sombres.
point d’interrogation
Saint Jean-Baptiste peint sur une planche de noyer
Léonard de Vinci – 1513
Saint Jean-Baptiste à la figure énigmatique, à la fois ange ou démon, est représenté en ermite, vêtu d’une peau de bête.
Sa main gauche tient un crucifix en roseau, sa main droite est tendue vers le ciel. Bras levé et index levé, il nous invite à écouter le message de l’au-delà.
« Eternel point d’interrogation, le mystère de la création ».
toilette
menotte dissipée
La scène se passe pendant la fuite en Egypte; Pendant que Joseph travaille au second plan, la vierge tente d’enfiler à l’enfant jésus, une veste bleue qu’elle lui a confectionnée.
La position de l’enfant, de face, raide et les bras écartés est une allusion à la crucifixion. On trouve ce sujet chez les peintres du nord, il est inhabituel dans la peinture italienne.
Ce tableau : La Madone au panier de Le Corrège – 1524
est conservé à La National Gallery à Londres