L’archange Michael, dans le christianisme, le judaïsme et l’islam est le destructeur de Satan, le prince des anges.
Il est considéré comme l’ange gardien de l’humanité.
Cet icône portable copte est conservé à Athènes au Musée byzantin et chrétien
La photo façonne et célèbre la lumière. Elle donne de la lumière à la lumière
L’archange Michael, dans le christianisme, le judaïsme et l’islam est le destructeur de Satan, le prince des anges.
Il est considéré comme l’ange gardien de l’humanité.
Cet icône portable copte est conservé à Athènes au Musée byzantin et chrétien
Cette huile sur bois est conservée au musée Delacroix à Paris
Carton de l’exposition :
« Eugène Delacroix fait la connaissance de George Sand lorsqu’il fait d’elle ce portrait, une commande pour la Revue des deux Mondes. Elle a déjà publié plusieurs ouvrages remarqués et alors entrain de rompre avec le poète Alfred Musset. Le peintre la représente dans un camaïeu de bruns, destiné à faciliter la reproduction par la gravure.
Ce dessin est conservé au musée du Louvre. Il est visible en ce moment dans le cadre de l’exposition « Naples à Paris ».
Carton de l’exposition :
Plume et encre brune, lavis brun/beige, pierre noire, stylet, règle et compas, sur deux feuilles de papier fragmentaires assemblées. Piqué pour le report.
Carton pour un panneau de la prédelle d’un retable peint vers 1503 par Raphaël pour Maddalena degli Oddi et Alessandra (Leandra) degli Oddi et destiné à une chapelle de l’église San Francesco dei Conventuali à Pérouse (Vatican, Pinacoteca vaticana).
La peinture du panneau est conservée à Rome à la pinacothèque vaticane.
Cette huile sur toile, conservée au musée Capodimonte est accrochée au Musée du Louvre en ce moment dans le cadre de l’exposition « Naples à Paris »
Carton de l’expo :
Paul III, âgé de plus de 75 ans, est immortalisé par Titien, tête nue en signe d’humilité, dans un magnifique camaïeu de rouge et blanc qui chatoie dans la lumière. Sa main droite porte l’anneau pontifical et est posée sur une bourse, rappelant le devoir de charité mais aussi son pouvoir pour l’attribution des bénéfices ecclésiastiques.
Deux fauteuils en bois sculpté, peints et partiellement dorés, velours peints.
Carton de l’exposition « Naples à Paris » en ce moment au musée du Louvre :
Atelier napolitain / Manufacture Vauchelet à Paris
Ces deux fauteuils font partie d’une série de sièges de parade commandée par la reine Caroline Murat. Les vues du palais de l’Elysée, ancienne résidence des Murat à Paris, et du palais des Tuileries, avec le pavillon de Flore et l’arc du Carrousel, sont un hommage inattendu aux échanges artistiques entre Naples et Paris et aux correspondances entre les palais du Louvre et de Capodimonte.
Photo de Paolo Bononi
Conservé à Turin, musées royaux, galerie Sabauda
Le temps suspendu
Le verre de prune vu par Manet -1877
Collection de Mr et Mme Paul Mellon
Un verre de prune ou un verre d’absinthe
Au XIXe, hier comme aujourd’hui, l’alcool est un fléau, une solitude.
Le verre d’absinthe vu par Degas 1875-76
Conservé au musée d’Orsay
À propos de l’absinthe
D’abord une boisson à la mode chez les artistes et les gens de la haute société- c’est une boisson chère, l’absinthe quitte les salons chics à partir des années 1870.
La production d’absinthe en France est multipliée par 50 entre 1874 et 1910, 36 millions de litres sont produits.
L’engouement pour l’absinthe se répand à la vitesse de la lumière.
L’absinthe se démocratise, toutes les couches sociales en font une consommation effrénée aux terrasses des bars.
L’absinthe est le fléau de la fin du XIXe à Paris, consommée à outrance, elle induit un alcoolisme massif des masses populaires.
Cet alcool devient l’ « affreuse sorcière verte ».
Devant les ravages de l’absinthe, une forte mobilisation menée par Pasteur et Claude Bernard à laquelle se greffe l’Église catholique et les viticulteurs, réclame son interdiction.
Le gouvernement réagit, en 1915 la commercialisation de l’absinthe est interdite.
Elle sera de retour sur le marché en 2011.